Le parc

L’entrée du parc

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Le parc est séparé de la cour par une grille en fer forgé, dessinée par Franz Potisek et réalisée par Pierre Cluzel.

On aperçoit le grand platane, probablement planté dès la fin du XVIIIième siècle.

 

 

La promenade

Le parc s’organise autour de la prairie. Près de la maison se trouve le potager. Du potager, on peut rejoindre l’allée des grenouilles qui mène à l’étang en passant par le jardin d’ombre et les volières. On peut faire un détour sur l’ile au milieu de l’étang. On arrive ensuite à la rivière, le Serein, que l’on peut longer jusqu’au banc de méditation, sur une presqu’ile au fond du parc. On passera d’abord devant la Cabane et la Main Courante et on pourra s’arrêter au Petit Arboretum avec ses conifères étonnants et d’autres surprises. Au fond du parc, on pourra apercevoir la maison et on continuera vers le Grand Chêne avant d’arriver au Grand Arboretum. Une butte permettra d’apercevoir l’ensemble et aussi l’enclos des oies entouré de ses plates bandes. On suivra du regard un petit ruisseau qui aboutit au milieu de la prairie à ponton. Ce ponton surplombe le deuxième petit étang, dit la Baignade. On poursuivra en passant devant la Source puis le tapis vert avant de rejoindre la maison.

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La prairie au début de l’été

Des allées d’herbe permettent de varier la promenade et de découvrir d’autres endroits et d’autres plantes. Nous avons voulu ménager des surprises, des points de vue différents et partout découvrir notre collection.

Les fleurs sauvages dans la prairie et les insectes 

 

Ce sont au total un peu plus de 7ha qui sont laissés sauvages ou aménagés. Les collections botaniques sont réparties dans divers endroits en fonction de l’exposition et de la natures du sol. Chaque année nous l’enrichissons avec l’aide de tous nos pépiniéristes. Le parc étant longé par une rivière tantôt calme, tantôt débordante, certaines zones sont marécageuses au milieu de la prairie, surtout en hiver, alors que d’autres sont dans les sous-bois. Nous avons aussi souffert de périodes sèches d’autant plus redoutables que la terre est argileuse.

Depuis que nous avons arrêté tout traitement,  et que la prairie est seulement fauchée une fois par an au mois d’août, nous avons constaté le retour d’une plus forte diversité, et les papillons volent en été, des salamandres ont été débusquées par hasard et le concert des grenouilles est très vif !

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Un retour de foire des plantes, il faut planter !